mardi 13 octobre 2009

L’entreprise tunisienne au cœur de l’œuvre présidentielle, au cœur de la Tunisie qui avance.

Depuis une vingtaine d’années, l’Entreprise privée tunisienne a gagné en respectabilité et en crédibilité en tant que partenaire responsable de l’Etat, des partenaires sociaux, des structures de formation et de développement des ressources humaines.

Cette position privilégiée, acquise par l’Entreprise tunisienne, est due à une volonté présidentielle, relayée par les différentes structures de l’Etat, afin d’impulser l’esprit managérial dans le pays, qui s’avère une excellente école de la rationalité, de l’audace et de l’ouverture sur son environnement immédiat et à l’international.

Ces valeurs sont en fait celles qui forgent l’identité tunisienne socialement et qui permettent au Tunisien en tant qu’individu d’être au diapason de la modernité. L’Entreprise tunisienne de l’ère Ben Ali a eu en effet un apport considérable dans le changement sociétal de la Tunisie contemporaine, elle a développé l’esprit de la redevabilité (el moussa’ala), la nécessité de la bonne gouvernance et l’objectivité des décisions dans la quête du succès, destin de toutes entreprises économiques bien gérées.

Les fondamentaux d’une Entreprise Tunisienne Citoyenne sont désormais acquis, l’impulsion présidentielle de l’esprit entrepreneurial, chez les jeunes promoteurs notamment, et les batteries d’accompagnement allant du coaching personnalisé aux différentes incitations et solutions de financement connues ces dernières années, ne peuvent qu’ancrer le goût de l’effort sur le plan du citoyen tunisien, la volonté de réussir collectivement au plan des entreprises et la quête de l’immunité de la Tunisie éternelle en tant qu’objectif absolu. Ce sont tout simplement les lignes directrices tracées par Zine El-Abidine Ben Ali, Président de la République Tunisienne, dans sa gestion du pays depuis 1987, qu’il trouve ici toute la gratitude et tout le soutien des chefs d’entreprises tunisiens, jeunes ou moins jeunes, pour l’œuvre accomplie et pour les échéances électorales du mois d’octobre.

Par Hassen Zargouni, chef d’entreprise

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